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11 mars 2005

Bientôt, bientôt...

Y'a trop de monde qui lit par dessus mon épaule: vacances, neige, grèves... Ils restent tous à la maison. GRRRRRRRRRrr!

Vivement la semaine prochaine: j'ai plein de choses à te raconter !

Que la force soit avec toi

 

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21 février 2005

de l'obligation de positiver (post pas drole)

J'ai un bonzaï mort sur le rebord de ma fenêtre. C'est très… « esthétique » ! Quoique esthétique n'est peut-être pas le bon mot. Il est quand même mort, ce bonzaï 

Tu sais que j'y prends goût à écrire ? Je m'éclate toute seule ! Plus j'écris, plus j'ai envie d'écrire. Incroyable. Parfois mes idées vont plus vite que les deux doigts que j'utilise pour taper sur mon clavier ( c'est ahurissant, ce que tu as l'esprit tordu, aujourd'hui ! Fièvre du samedi soir ? T'as canal, PinkTV ou quoi ?) C'est pas normal qu'une blonde pense plus vite que ses mains !!!!….c'est ça ! Mais là, en ce moment, je patine dans la choucroute ; j'ai pas le moral. J'ai déjà du mal à aligner 3 mots, alors écrire !

J'ai bien entendu les commentaires que tu faisais dans mon dos : T. siffle, et Elle accourt… . C'est vrai. Je te l'accorde ! Mais Elle a des circonstances atténuantes. D'abord ce gentil jeune homme est d'une galanterie, d'une attention quasi … désuète :

T'en connais, toi, des mecs qui roulent doucement sur les routes de montagne, pour pas que tu vomisses à chaque virage ? Qui te prépare un clafoutis aux cerises pour le pique-nique (avec noyaux, ce qui t'obligent à faire gaffe à tes bridges), qui vient aux champignons avec toi, alors qu'il est sûr de mourir empoisonné connaissant ta parfaite maîtrise de la mycologie ? ? qui te raconte son père pilote d'ascenseur et sa mère, infirmière psychiatrique, en passe de rejoindre ses patients. Quand on te raconte ça, tu fonds et tu n'as qu'une envie, c'est de le prendre dans tes bras : le p'ove !. Alors, maintenant, tu comprends pourquoi je m'accroche, telle la sangsue ! Il adore « Friends », « Allie Mc Beal », et « les 4400 ». Il joue même au scrabble ! « non ! » « si ! » « pourquoi ? tu joues au scrabble, toi ? » me demandes-tu. « voui, si tu ne me donnes pas plus de 2 lettres ! »

Bien. Je sais que tu ne consultes ce blog que dans le but de savoir si Elle a mit les bouchées doubles ce week-end. Hum ! , p't'ete ben qu'oui, p't'ete ben qu'non, à toi d'en juger :

Samedi 12 février,6h20 du matin, quelque part en France :

Sms de Elle à T. : « t'aimes le curry ? »

Sms de T. à Elle : « de lève tôt à lève tôt : oui »

La veille, elle l'avait invité à venir le samedi midi pour mettre au point la journée de ski prévue dimanche. Et là, tu tiques :

« et le mari ? »

« heu, ben y sont collègues. »

« t'as pas honte ? ».

« non. »

« et il ne se doute de rien ? »

« bah! , peut-être un peu, m'en moque… »

10h- 18h journée merveilleuse, passée à échanger mp3, blagues à 2 balles et confidences… collés littéralement l'un à l'autre  (enfin surtout elle). 10 ans d'âge mental… Courses pour le pique-nique : t'aimes quoi comme bonbon ? ch'sais pas quoi choisir ! (dialogue dégoulinant, sirupeux… bref, grand classique des premières courses à deux. On verra dans deux ans : ça sera plutôt du style « j'm'en fous, fais comme tu veux… ».Tu vois que je n'ai pas le moral, je pense comme une vieille aigrie )

Hélas,

dimanche 13 février, 6h50, toujours au même endroit :

Sms de T. à Elle : « vu conditions météorologiques, remettre à plus tard ski, dommage… ». Elle était en train de préparer un cake ! tu sais celui qui est super bon quand il n'est pas brûlé ! non seulement, le cake était infâme mais le pire était ce week-end gâché.

Depuis elle déprime.

Elle ne l'a pas encore revu… et ça fait, voyons voir : 6 jours. Pas d'appel pour la saint Valentin. Tiens, en passant, c'est « Grognon » qui s'est mit en frais cette année –des choses à se reprocher ?- reçu en cadeaux : très bel olivier (symbolique, je te dis, depuis il est très gentil !), trois massifs de marguerites (je ne connais pas par cœur le langage des fleurs et je doute que « Grognon » sache qu'il en existe un), et deux poêles (autre symbole).

Oh! , il y a bien eu une demi-dizaine de sms échangés avec T. depuis, mais c'est pas pareil. Il est redevenu distant.

Allez, je respire un coup, je suis une jeune femme (il faut le dire toujours aussi vite qu'au début) belle, intelligente. « Je vais bien, tout va bien… »

11 février 2005

de la nécessité d’un interlude

Hier, « ronchon » est rentré plus tôt que prévu. J'étais en train de t'écrire. Vite, vite, fermer cette page !. C'est dans un cas comme ça que tu t'aperçois que ton ordinateur est Très lent.

J'sais pas si t'es comme moi, mais je trouve que les journées passent hyper vite. C'est dingue ! J'ai le temps de rien faire et hop c'est déjà l'heure d'aller au lit ! . Bon c'est vrai que je « glande » beaucoup ! Mais je glande à un rythme infernal !!! (Tu connais les blondes ! ? Les rousses c'est pire ! Le temps de s'occuper de nos cheveux, ongles, sourcils, cils et autres poils !!! Pardon les filles je rigole ! C'est DE L'HUMOUR ! Pourvu que les chiennes de garde ne me lisent pas !!!). Si tu savais le temps que ça me prend pour faire passer du fil dans le chas d'une aiguille ! impressionnant !!!! A croire que j'ai la maladie de parkinson (ça ne serait pas perdu pour tout le monde, hein ! Les garçons ! Et pour les bouteilles d'orangitruc c'est très pratique : « secouez-moi… » mais pour le kokalala c'est pas terrible : pssshhhit).

« mais, banane ! » me dis ma mère –merci maman pour ton soutien psychologique- « il existe un petit bidule pour ça ! tu y arriveras bien plus vite ! ». où ? . no comment. J'en voudrais bien un p'tit bidule de temps en temps, soupire-je, même tout petit petit, enfin non, c'est pas vrai, j'en veux un gros. Warf, warf !!!! (ici, une lueur lubrique apparaît dans mon œil glauque).

Il m'arrive parfois, souvent même, de préparer mes futurs conversations : pendant des heures je peaufine mes répliques. T'as jamais fais ça toi ? non ? j'te crois pas ! . S'il me dit ça, j'lui réponds ceci, mais s'il me demande cela ? hein ! . Oui mais le naturel de la réponse après ? oh tu sais, je les connais par cœur, mes répliques, alors ça a l'air très naturel ! en ce moment par exemple, je répète mon rendez-vous de ce week-end, avec tu sais qui. Si T. me demande ce que j'ai fais ces derniers temps je lui répondrais d'un air très dégagé : « je blogue ». Après quelques phrases attendues, comme : « Ah ! toi aussi, tu t'y mets ? » « patati-patata… », il y aura le : « ça parle de quoi ? » je lui glisserais, sournoise, « de toi ». Là, il y aura un vieux blanc… . « ah bon ? » « voui ! ». « …… » Lui laisser le temps de digérer l'info, et en remettre une couche : « je ne te donne pas l'adresse, c'est trop… cochon ! ». ça serait bien, ça, non ? …J'oserais jamais… .

Pour les commentateurs, je suis bien d'accord avec vous : sûr, que j'aimerai bien le violer ! Sur une chaise de préférence, ou sous la douche (aaaaaahhhhhhhhhhhhhhh ! le coup du savon qui glisse !! je perçois des ricanements : des connaisseurs !) Mais j'entends les filles qui me hurlent : « ça va pas la tête ! c'est l'homme qui propose et la femme qui…. » « il faut qu'il rampe à tes pieds » (oh, la, la ! j'ai des moon-boots aux pieds, rappelles-toi !) « c'est lui qui doit venir te chercher ! ». Mais arrêtez de criez comme ça ! Eh ! Oh ! j'fais comme je peux ! il est méga timide ! et puis ce bruit de fond me déconcentre ! allons ! sinon je ne pourrais jamais vous finir mon histoire !!! d'ailleurs, tu as vu l'heure ? Y a rien pu se passer depuis hier. Il est bien trop tôt !

Mais peut-être cet après-midi, si tu es sage…..

Que la force soit avec toi, petit scarabée !

10 février 2005

où l’on apprends qu’il ne s’est toujours rien passé

Ah! , te voilà. Au fait merci pour tes encouragements ! (Voir commentaires). Je les ai lus : j'y reviendrais…

Tu as vu ? J'ai changé de couleur de texte, en pensant à tes p'tits zieux. C'est moins fatiguant non ?

Mon histoire ne te lasse pas trop ? Non ? Merci que tu es gentil !

Tu as déjà créé un blog ? Au début j'ai fais comme toi : je lisais les écrits des autres. C'est bizarre de rentrer dans la pensée de quelqu'un. Intime, violent, drôle ! . Un jour, j'ai trouvé un blog qui m'a touché : on avait l'impression que son auteur écrivait quelque part, dans le vide sidéral. Il n'écrivait pour personne en particulier, mais n'attendait qu'un signe, un commentaire, pour entamer le dialogue. Eh, oh ! Y'a quéq'un ?

Parce que, comme tous, quand on blogue, on va voir systématiquement les stats : quelqu'un est venu ? Oh ! Il est revenu ! Et y vient d'où ? . S'il y a eu un passage, on est heureux, plusieurs : le pied ! . Ah ! Trop timide pour laisser un commentaire (sur le ton de la constatation, et pas de la consternation.) C'est pas grave, je continue à écrire pour toi !!!

Bien. On la continue c't histoire ?

Des bigoudis dans les cheveux, des concombres sur le visage, c'est dans cet état déplorable- ça donne pas envie, une nana pareille- qu'elle lut le sms. Mais si, rappelle-toi, dans le post précédent, quand « son cœur… . T. lui proposait, tout simplement, de le rejoindre, le dimanche suivant pour une partie de… ski. (J'entends tes encouragements : vas-y ! Vas-y !!! Arrêtes de trépigner !). Folle de joie, elle s'empressa d'essayer sa tenue préférée : ses moon-boots à bouts dorés et son jean pat'd'eph. A enfiler dans cet ordre c'est un peu dur, mais avec beaucoup, beaucoup de patience, on peut y arriver. Et puis, c'est très tendance comme tenue… dans'l'nord ! . Elle était tout simplement ravissante. De quoi réveiller un homme qui à la chaleur d'un boa mort ! Je me lance des fleurs, d'abord c'est très bon pour le moral et ensuite, c'est bientôt la St Valentin et j'ai peur de ne rien recevoir cette année (il y a 7 ans, au début de sa relation avec « grincheux », elle avait eu un casque de chantier blanc et depuis plus rien. Un signe peut-être ?). Revenons à la belle. « Une touche de rimmel…, si tu regardes l'Homme avec l'œil humide et que tu en as trop mit, ça dégouline et c'est pas top ! . « A cœur vaillant, rien d'impossible ! . Il existe des choses dans la vie qui sont réellement impossibles à faire, c'est vrai, comme dirait l'autre de se lécher le coude par exemple (c'est impossible à faire), mais là, elle se sentait irrésistible…

Il faudra attendre demain pour connaître la suite, car cette histoire se déroule en temps réel, et il n'y aura de nouvelles fraîches que demain après-midi, je pense. Prends ton mal en patience et en attendant : carpe diem.

p.s. : j'ai bien vu que tu essayais de te lécher le coude ! Non seulement, t'as vu, c'est impossible, mais en plus on a l'air con !

9 février 2005

Du pourquoi du comment ou presque

Tu vois, je m’applique.

J’essaye de te faire sourire. Ça prend du temps.

Je suis obligée de faire un brouillon d’abord car je suis incapable d’écrire une ligne sans la reprendre, la tortiller, y rajouter astérisques et commentaires. Ensuite je saisis le texte et je brûle le brouillon. Si « vieux ronchon » tombe dessus, je serais pendue haut et court. Quoique le nom du blog, noté sur un bout de papier, est resté sur le bord du bureau quelques temps. Acte manqué ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

 

Aujourd’hui, je suis jouasse, heureuse, virevoltante. Le jeune homme, appelons le T. (tous les noms utilisés dans ce texte ne seront pas modifiés par égard aux personnes existantes) vient enfin d’envoyer - au bout d’un mois- un sms « trop » gentil/ mignon à la jeune femme de mon histoire, dont le cœur à bondit telle une chèvre – telle une vache, c’est encore moins poétique !-. Il faut bien dire que depuis quelques temps elle était dans un état d’agitation extrême. A tel point que vendredi dernier… mais laissons-la raconter :

 

« Je devais rendre à 18 heures des plans chez un client important. J’avais bossé comme une dingue des jours et des jours sur mon « ordi » portable. À 16h tout était OK, il était temps d’imprimer le résultat. Je voulais utiliser l’imprimante du gros ordinateur. Débranchements, re-branchements, envoi impression. RIEN. NADA. Pas d’impression. Horreur ! Vérification imprimante, ajout d’imprimante… . TOUJOURS RIEN. HORREUR TOTALE… l’heure tourne, 17h15. a bout de nerfs re-débranchements, et là, que ne m’aperçois-je pas : j’avais relié le câble de l’écran du gros ordinateur au portable !!! Une vraie conne ! (Je suis blonde, ne l’oublie jamais !!!) »

L’anecdote est vraie, je me serai donné des baffes ! .

 

Revenons à nos moutons : l’histoire lamentable et complètement inintéressante de notre jeune femme.

Avec le gentil jeune T., notre belle allait en randonnées, au ciné, au resto. A la piscine, T. lui prêtait ses lunettes de plongée, elle lui prêtait sa serviette (qu’elle ne lava plus, pour sniffer son odeur. C’est vrai qu’à la fin ça pue. Je ne comprends pas les gens qui gardent le tee-shirt de leur idole, c’est immonde !!!). Bref T. remplaçait le mari défaillant dans bien des domaines. Pas tous. Elle, elle aurait bien aimé, mais ça elle se le gardait pour elle. Parfois quand elle était seule, elle s’imaginait… ! . Là, il faut que je te précise que son mari ne la « touchait » (et encore je ne savais pas que le bras était une zone érogène) que tous les deux mois environ, pendant 10 minutes dont 9 pour mettre son préservatif. Elle n’était pas amoureuse de T., mais quand même, elle attendait ces moments partagés avec impatience. Cela dura deux ans, jusqu’au jour où sa copine lui fit remarquer que les gens commençaient à jaser. Elle en fit part à T.. Et du jour au lendemain, elle n’eut plus de ses nouvelles. Partagée entre exaspération et tristesse, elle prit une bonne résolution de début d’année : laisser tomber ! Que les hommes sont lâches !

Elle ne cessait de se dire : « Ne pas déprimer mais positiver : je suis une jeune femme (il faut le dire vite) belle et intelligente et respirer un bon coup. »

 

Bien. Tu attendras un peu pour avoir la fin

Carpe diem

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8 février 2005

la suite...

Je vois que tu es revenu ! tu veux la suite hein ? tu serais pas un peu voyeur, non 

Et bien, la voilà :

Il était une fois, une jeune femme délaissée par son mari. Il rentrait tard le soir à cause de ses réunions (appartenait-il à une secte secrète qui ne se retrouvait qu'à la tombée de la nuit ?) ou du boulanger qui avait fermé plus tôt et il fallait bien en chercher un autre !. jusque là rien que du très classique ! la jeune femme délaissée, très belle et très intelligente (comme moi), lasse de se masturber seule l'esprit (je sent ton sourire en coin) s'enticha d'un grand jeune homme (son mari était petit, vieux et moche de surcroît, ce qui ne facilite pas les choses) avec qui elle entreprit de partager, en tout bien tout honneur, certains moments de sa vie. Mais pourquoi, te demandes-tu, avec raison, je dois te le dire, était-elle mariée avec un vieux moche ? c'est une très bonne question et je dois te remercier de me l'avoir posée. Elle s'était mariée avec le consentement de son plein gré à cause des impôts je crois. Un peu tiré par les cheveux comme argument mais c'est la vérité puisque c'est moi qui invente l'histoire ! Bon c'est comme ça, arrête de me poser des questions tout le temps ça me déconcentre !

Voilà ! Tu m'as fais perdre du temps avec toutes tes questions. l'Homme rentre et je dois repasser les affaires de Jumelle Je te raconterait la suite demain.

Carpe diem

Ps : où tout ça va-t-il nous mener ?

6 février 2005

Blogage psychologique

L'angoisse de la page vert...ARRRggggg...

1,2....

c'est parti....:

L'Homme a déserté, comme tous les dimanches. Personne pour lire par dessus mon épaule.

J'avais pourtant pris de bonnes résolutions en janvier, mais j'ai fais comme toi, si,si, en moins de 2, pffff ! ouliées!. Plus fumer, classer ceci, faire cela, commencer un blog, ne plus penser à T., etc, etc...Elles étaient bien numérotées par ordre d'importances ces bonnes résolutions et comme de bien entendu, z'ai pas tenu. Une des idées était de commencer ce blog dès le 1er janvier...Alors bien sur maintenant, j'ai l'air fin si je fais semblant d'être au début de l'année pour te raconter ce qui s'est passé ("je finirai cette phrase un autre jour")! de toute façon, il ne s'est rien passé. Mais t'aimerais bien savoir quand même hein? bon, voici l'histoire:

Il était une fois...

 

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